La situation créée par l'intrusion intempestive du lieutenant Pierre Kinganga alias Sirocco à la Radio nationale, le 23 mars 1970, bouleversa l'équilibre des forces politiques au sein du bureau politique du parti à peine constitué. Ce bureau politique était passé de huit à dix stratèges dont cinq militaires et cinq civils.
Parmi les cinq militaires, seul le lieutenant Ange Diawara, ancien commandant de la Défense civile, était trempé dans le bain politique depuis des années sous l'aile d'Ambroise Noumazalay. Les quatre autres, les commandants Ngouabi et Raoul, les capitaines Kimbouala et Sassou étaient des militaires professionnels arrivés en politique par la force des choses.
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