Créé cardinal par le Pape François, Fridolin Ambongo n'est pas prêt à se détourner de son combat ; celui d'être le porte-voix d'un peuple qui n'aspire qu'à une seule chose : vivre heureux sur la terre de ses ancêtres. Avant sa messe inaugurale de ce dimanche 17 novembre, le cardinal Ambongo s'est offert mardi à la presse.
Il n'a éludé aucun sujet. Il salue l'alternance démocratique, incarnée désormais par le chef de l'Etat Félix Tshisekedi, et trouve que ce dernier « donne des signes d'être de bonne foi ». Ce n'est pas pour autant que l'Eglise va se taire. Le cardinal Ambongo prévient : «Quand la dignité de l'homme est bafouée, l'Eglise se dresse». Autrement dit, pas de cheque en blanc à Félix Tshisekedi.
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