L'Union européenne va bientôt devoir décider de l'opportunité de prolonger les sanctions ciblées qu'elle a infligées à 14 personnalités de haut rang de la République démocratique du Congo responsables d'une violente répression et d'autres graves violations des droits humains. Elle devrait les prolonger.
Imposées en 2016 et 2017, ces sanctions, s'ajoutant aux sanctions prises par les États-Unis et par les Nations Unies, ont contribué à faire pression sur l'ex-président Joseph Kabila pour qu'il s'engage à quitter le pouvoir et à permettre la tenue d'élections après un retard de deux ans et de nombreuses effusions de sang. Toutefois, la répression politique s'est poursuivie à l'approche du scrutin et aussitôt après.
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