Le sous-secteur de l'éducation de base des jeunes et des adultes analphabètes peine toujours à décoller. Le manque notoire d'intérêt du gouvernement risque de l'enliser dans une situation déjà chaotique.
En plus de l'absence d'une politique linguistique clairement définie et fixée par un acte juridique, l'éducation de base des jeunes et des adultes analphabètes souffre de sous-financement : 0,30% des dépenses publiques de l'éducation nationale, alors que la conférence de Bamako en 2007 recommandait aux Etats membres de le porter à 3%.
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