Un pavé dans la mare, une porte ouverte que l'on enfonce, la vérité rougit les yeux, mais ne les crève pas. Les caractérisations ne manquent pas pour qualifier les déclarations mi-suppliques mi-accusatrices que l'artiste-chanteur Salif Keïta a postées sur les réseaux sociaux ce week-end.
En langue bambara, comme s'il voulait se faire comprendre par beaucoup d'Africains de l'Ouest, il a interpellé le président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) sur sa responsabilité de président de la République, chef suprême des armées, dans la complicité supposée de la France avec les groupes armées qui écument le Sahel dont les régions du nord et du centre du Mali.
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