On les trouve après chaque nouvelle récolte de la canne à sucre. Ce sont les champignons poussant sur l'écume de la canne. Kumari Jauleem, 69 ans, et sa bellesœur Indrani Seeboruth, 68 ans, vendent ces champignons à Belle-Vue-Maurel.
Elles quittent la maison vers une heure du matin pour se rendre à Beau-Champ où elles font la cueillette de ces champignons, qui sont, précisent-elles, «très rares». Par la suite, elles les nettoient avant de les commercialiser.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article