A Antananarivo, ils sont très nombreux à ouvrir des restaurants et des gargotes. Il suffit de passer du côté des 67 ha pour s'en apercevoir.
Les emplacements de ces marchands de « hani-masaka » sont très variés, on peut en trouver dans des coins où personne n'aurait soupçonné l'existence d'un endroit qui sert de la nourriture, c'est-à-dire dans les profondeurs des quartiers de la Capitale. Mais il y a également ceux qui s'exposent au bord des routes, sans doute par souci de visibilité. Et les clients sont souvent preneurs car dès 11 heures et souvent jusque dans la nuit, les petites salles manquent rarement de clients.
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