Ce jeune réfugié avait été accusé à tort d'être le chef d'un gang de trafiquants d'êtres humains entre le Soudan et la Libye. Au terme d'un très long procès, il avait été acquitté et relâché en juillet dernier, après qu'il était apparu évident qu'il y avait eu erreur sur la personne.
Au téléphone, l'avocat de Medhanie Tesfamariam se dit « consterné ». « Pendant que nous perdons du temps, soupire Michele Calentropo, le vrai trafiquant est toujours en liberté. »
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