Les autorités tchadiennes ne doivent pas extrader Abdoulaye Miskine et ses compagnons. C'est ce que disent les avocats du président du Front démocratique du peuple centrafricain, un mouvement rebelle signataire des accords de Khartoum entre le gouvernement centrafricain et les mouvements rebelles.
Lui et ses compagnons ont été arrêtés il y a dix jours alors qu'il venait de traverser la frontière entre la Centrafrique et le Tchad. Pour ses avocats, ils venaient solliciter une médiation du Tchad.
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