Avec l'appui du gouvernement Canadien, les organisations féminines réunies autour de l'Association pour la promotion de la femme au Sénégal (Aprofes) se sont lancées depuis quelques semaines sur une dynamique de corriger certains impairs fragilisant leur processus de promotion.
Cette démarche leur exige aujourd'hui toute une obligation de redescendre à la base dans le souci d'identifier l'ensemble des facteurs empêchant la bonne cadence vers le développement des femmes, est surtout de définir de nouvelles stratégies de capacitation des femmes afin qu'elles disposent de plus de voix et puissent prétendre à un leadership avéré au sein des instances de décision du pays. Il s'agit en effet au sein des organisations de femmes d'effectuer elles-mêmes leur autodiagnostic.
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