La décision du Tchad de fermer sa frontière avec la Centrafrique en 2014 n'a pas freiné la transhumance du bétail entre les deux États, mais en a compliqué les conditions.
Depuis la fermeture de la frontière entre le Tchad et la Centrafrique en 2014, les allers-retours des éleveurs transhumants qui ne s'étaient jamais arrêtés se passent dans des conditions difficiles. « Les effets négatifs que nous avons observés : une transhumance armée, mais également la pression des groupes armés sur les éleveurs transhumants », admet le docteur Hissein Ahmat Malmal, du ministère centrafricain de l'Élevage.
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