Si ces salariés affichent leur bonheur face à l'augmentation du salaire minimum, tel n'est pas le cas pour les employeurs. Josian Lindor, qui dirige une petite entreprise de textile depuis 2017, ne sait pas où donner de la tête. «Définitivement, nous en sommes affectés. Là, je dois trouver des fonds additionnels pour payer cette augmentation à cinq personnes dont moi-même. Cette mesure vient les soulager bien sûr mais qui nous aide, nous, les entrepreneurs ?» s'interroge-t-il.
De son côté, un autre entrepreneur, qui gère une petite société spécialisée dans l'alimentation depuis l'an 2000, galère lui aussi. «Je ne sais même pas quoi faire. Je ne cesse de tourner en rond en quête de solutions», déplore-t-il.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article