Nicholas Sarkozy a raison sur un point: «La Démocratie (la vraie) ne doit faire du mal à personne ».
µOn a eu à écrire tout récemment sur le président sénégalais quand il a manipulé la justice, les lois ou institutions du pays pour écarter ses éventuels opposants de participer aux élections. Et aujourd'hui, il semble que le même article peut s'appliquer à notre fameux professeur Conde de la Guinée. On ne renie pas les prérogatives constitutionnelles du président de la république de proposer de modifier la constitution mais il ne revient pas à lui de dire qui doit être président de la république ou pas car ce rôle revient au peuple dans des processus crédibles, transparents et inclusifs.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article