Deux morts, neuf blessés dont deux graves. Le 8 janvier 2010, alors qu'il se rendait à Cabinda, l'enclave angolaise située entre le Congo-Brazzaville et la RDC, pour y disputer la Coupe d'Afrique, le bus de l'équipe de football du Togo était mitraillé. Une demi-heure sous le feu du FLEC, le Front de libération de l'enclave de Cabinda, un mouvement séparatiste armé.
Ce mercredi marque les dix ans de la tragédie et au Togo, on s'apprête à commémorer l'attaque de Cabinda, a minima, pourrait-on dire. Une messe solennelle donnée à Lomé, initiative privée en présence de proches des victimes et c'est à peu près tout. Bien loin de l'onde de choc provoquée à l'époque par l'attaque du bus des Éperviers.
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