Face à un pouvoir autoritaire qui n'accorde aucune véritable liberté de parole, les rares opposants restés au Burundi tentent de faire passer leur message. Pour éviter la répression, ils surveillent leur langage.
A quatre mois des élections générales, les partis d'opposition burundais poursuivent une campagne discrète, conscients des risques qu'ils prennent si leur message est trop critique vis-à-vis du gouvernement.
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