Nos janviers s'ouvrent à tout depuis 2011. A la contestation, aux décisions, aux changements. S'y ajoute, plus délicat encore cette année, la formation d'un nouveau gouvernement.
Rare. On sort à peine de deux scrutins. On change de parlement. On change de président. Rien n'est clair, qui plus est. Le parlement se présente en «miettes». Et, curieux paradoxe, le président plébiscité, presque, par près de trois millions de votants, n'a pas de ceinture parlementaire.
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