Au vu de l'expansion du phénomène de la fuite des cerveaux après la Révolution, le sujet est devenu de plus en plus préoccupant dans une situation économique morose. Pour Kais Sellami, l'Etat doit communiquer sa vision, rassurer les diplômés quant à l'avenir du pays, donner des signaux positifs, marquer sa volonté à améliorer l'environnement et le climat général... Pour sa part, l'entreprise, qui représente le secteur privé, doit contrer ce phénomène. Certes, un travail colossal à accomplir en très peu de temps, mais indispensable pour juguler ce phénomène.
Aujourd'hui, la situation est-elle encore gérable à l'heure où la Tunisie perd en matière grise à un rythme de plus en plus effréné depuis l'année 2011?
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