Le jeune enseignant Kevin Boris Njimo Tchakounte assassiné le 14 janvier dernier a été enterré samedi 1er février à Bazou à l'ouest du Cameroun. A l'occasion, la confédération de tous les syndicats à lancé un appel, pour la défense de leurs intérêts. Cependant que sur le terrain de l'action des élections, le Social Democratic Front (SDF), à mis en garde les éventuels fraudeurs aux élections.
Il n'avait que 26 ans Boris. Il a été mis sous terre à Bazou, dans la douleur. Ses collègues, les enseignants venus nombreux lui rendre ce dernier hommage étaient encore sous le double choc de sa disparition tragique et le traitement dégradant à eux infligés lors de sa procession funèbre à Yaoundé. Le quotidien La Nouvelle Expression révèle que « ces derniers ne digèrent pas le mauvais traitement qu'on leur a infligé et entendent déposer la craie si rien n'est fait pour décrisper l'ambiance très tendue »
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