Il n'y a pas que les conflits armés provoqués par une attaque extérieure du pays, une rébellion ou encore par des groupes armés incontrôlés qui troublent la population congolaise, comme nombre de compatriotes pouvaient le croire. Les conflits fonciers se veulent aussi de « tueur » dangereux capables d'effacer des contrées entières sur la carte nationale.
Il suffit de faire un tour des tribunaux du pays pour remarquer que parmi les principales affaires en procès, les conflits fonciers occupent la pôle position. Cela s'observe non seulement à Kinshasa la capitale, mais également dans tous les chefs-lieux des provinces, ainsi que les grandes agglomérations que compte la RDC. Les milieux ruraux ne sont pas, non plus, épargnés par cette gangrène.
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