L'organisation chaque année d'une nouvelle session de l'Examen d'Etat constitue une aubaine inespérée pour plusieurs gestionnaires d'écoles et autres préfets - ou chefs d'établissement du cycle secondaire - pour se faire du beurre sur le dos des élèves finalistes des cycles terminaux soumis à cette épreuve.
En effet, malgré que les frais scolaires à acquitter du début des préparatifs jusqu'à la passation de cette épreuve d'Etat sont régulièrement fixés par les autorités provinciales et nationales, nombreux sont les responsables scolaires qui recherchent des subterfuges pour gonfler ces frais.
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