Dans « Da Yie », les images bougent sans cesse, comme lui pendant l'interview ! Pour Anthony Nti, la caméra est « comme un enfant très curieux ». En compétition internationale au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand, le réalisateur belge de 28 ans, né au Ghana, raconte l'histoire étrange d'un étranger dans son pays natal.
Da Yie démarre avec une scène à la fois très cruelle et très belle : deux poules ligotées essaient de s'envoler vers le ciel. Cruauté et beauté, ce sont les deux sources de votre film ?
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