Six jours, c'est le délai donné par la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) à la Cour suprême bissau-guinéenne, pour trancher définitivement le litige électoral qui oppose le vainqueur du scrutin du 29 décembre, Umaro Sissoco Embalo et le candidat malheureux, Domingos Simões Pereira (DSP).
Sous d'autres cieux, on se serait offusqué d'une telle demande qui s'apparente à un ultimatum donné à une institution judiciaire censée être indépendante. Mais dans un pays dont l'histoire est écrite en lettres de sang, l'on ne saurait en vouloir à la CEDEAO de vouloir jouer les gendarmes.
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