Le profil du prochain Président à élire le 22 février prochain préoccupe Amnesty International. « Le prochain président doit faire de la protection des droits humains une priorité », recommande l'ONG de défense des droits de l'Homme, marquée par les points noirs du mandat 2015-2020 dont l'adoption de lois liberticides qui compromettent la liberté d'expression, les tueries d'au moins 25 personnes dont des enfants depuis les manifestations de 2015, le surpeuplement des prisons jusqu'à hauteur de 186 % de taux d'occupation, un climat d'impunité pour les forces de sécurité, entre autres. Amnesty International adresse à cet effet aux sept (07) candidats en lice un document public intitulé « Engagement pour la promotion et le respect des droits humains au Togo » leur demandant un positionnement ferme en faveur des droits humains...