Le président malien, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), a confirmé, il y a quelques jours, l'ouverture de négociations avec des groupes terroristes qui sévissent dans son pays. Dans la forme, ce changement tactique n'a rien de surprenant.
Il apparaît comme une suite logique de la Conférence d'entente nationale (CEN) d'avril 2017 et du Dialogue national inclusif (DNI) de décembre dernier au détour duquel, les participants ont recommandé, entre autres, « la négociation avec Amadou Koufa et Iyad Ag Ghali (dirigeants de groupes armés liés à Al-Qaïda) pour ramener la paix et la stabilité au Mali».
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