Les plaidoiries, en marge de l'affaire dite « des biens mal acquis » devant la justice française, opposant Malabo à Paris devant la Cour internationale de justice se poursuivent ce mardi 18 février. La question du statut de l'immeuble est au cœur des débats ouverts un jour plus tôt La Haye.
Les avocats de la France doivent plaider mardi 18 février en réponse aux plaidoiries de la Guinée équatoriale, prononcée la veille. Perquisitionné en 2012, saisi six mois plus tard et confisqué par un jugement prononcé par Paris le 10 février, le 42, avenue Foch est au cœur de l'affaire qui oppose Malabo à Paris. Ce qui se joue aujourd'hui devant les juges de la Cour internationale de justice est une procédure intentée par Malabo en 2016, en marge de l'affaire dite « des biens mal acquis », qui se déroulait devant la justice française. La semaine dernière, la justice française a condamné Teodorin Obiang, 30 millions d'euros d'amende et la confiscation d'un hôtel particulier au 42, avenue Foch.
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