Le 13 février dernier, j'ai appris, par voie de presse, que les juges militaires ont procédé à la reconstitution des faits dans l'affaire Thomas Sankara, du nom de ce chantre de la Révolution, assassiné le 15 octobre 1987. En quoi consiste une reconstitution des faits ? C'est la question que se posent bien des Burkinabè ?
Surtout quand on sait qu'il s'agit d'une affaire qui remonte à plus de trois décennies. C'est simple. Si l'on en croit un des avocats de la famille, en l'occurrence Me Bénéwendé Stanislas Sankara, la reconstitution des faits est, dit-il, « la mise en scène théâtrale du fait incriminé ».
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