Quand Biya cherche à cacher le soleil avec son doigt
Une vingtaine de civils dont 13 enfants et deux femmes enceintes envoyés ad patres par les « forces gouvernementales » aidées d'une milice armée. Ce jour, 14 février 2020, qui célébrait l'amour, plutôt que d'avoir le cœur à la tendresse ou, à tout le moins, le cœur attendri, ces hommes armés se sont signalés par l'horreur. Théâtre de leur sale besogne : le quartier Ngarbuh du village de Ntumbo, dans la région du Nord-Ouest au Cameroun anglophone. Ces accusations d'une gravité extrême, portées contre l'armée camerounaise, sont celles de l'ONG Human Rights Watch, consignées dans son dernier rapport sur la situation des droits de l'Homme au Cameroun.
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