Les dégâts collatéraux de PMU France élargissent leurs tentacules jusque dans les eaux de l'archipel malgache. En dépit d'un contrat d'exclusivité concédé par Monsieur Michelson Rakotoarisoa lui-même à PMU Madagascar en 1996 pour une durée de 25 ans, les tractations en coulisses sur l´axe Paris- Antananarivo ont bizuté et chamboulé les règles établies de l'écosystème des jeux hippiques à Madagascar. L'irruption au forceps de Pari Turf novembre 2016 ( Richard Gagneux et Grégory Santini de la société Mada Yabon SRLU) mandaté par PMU Partners pour la représenter PMU BET (pari en masse commune) à Madagascar, fait désordre et ouvre un conflit aux fragments insoupçonnés entre PMU Madagascar et ASEL. Révélations croustillantes et explosives.
Le départ du désormais ex Président de PMU France, Xavier Hurstel il y a quelques jours, sonne- t-il le glas de cette compagnie aux rebondissements séquentiels ? Ça ne sent pas la rose. Encore. À Madagascar, l'atmosphère qui prévaut est assez lourde et polluante. Tout y passe : non respect des clauses de contrat régissant le secteur des jeux hippiques, actes abusifs et autoritaires, crocs- en- jambes, jeux de cache- cache, etc...
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