Mauvaise gestion, dysfonctionnement de la justice, déficit de communication, non-maîtrise de la gestion du cadre macroéconomique... le chef de l'État peine à imprimer ses marques, plus d'une année après. Va-t-il continuer à se mordre les doigts avec une équipe qui ne rassure pas ou va-t-il s'assumer, en nettoyant ses écuries, allant jusqu'à fouiner ailleurs des vertébrés capables de rentrer dans sa philosophie de gestion de la res publica?
Le chef de l'État vient de passer plus d'une année au pouvoir, avec une équipe qui ne fait qu'accumuler des fautes. Il a un choix à opérer : ou il reste stoïque, en assumant les faiblesses de ses collaborateurs devant le peuple, ou il prend la responsabilité et le courage de sauver le navire avant qu'il ne chavire. Que reproche-t-on au chef de l'État ou,mieux, à son équipe exécutive ?
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