Le 22 mars, alors que les Guinéens étaient appelés à se rendre aux urnes pour le double scrutin, de violents heurts ont éclaté à travers le pays, faisant une dizaine de morts à Conakry, et entre 10 et 22 dans la ville de Nzérékoré, dans le sud-est du pays, connue pour être un foyer de tensions ethniques et religieuses.
« Pourquoi brûler le temple lorsqu'il s'agit de politique ? » La voix affectée, le costume sombre, le pasteur Emmanuel Grovogui contemple les débris calcinés de son église. Au sommet, la petite croix tient encore debout.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article