Bon nombre d'entre elles n'ont pas encore bénéficié de l'aide d'urgence de la part de l'Etat, alors qu'on entame actuellement la troisième semaine de confinement.
Les commerçants de rue, les chauffeurs de taxi-be et les receveurs, ainsi que les chauffeurs de taxi et les lavandières, voire même les travailleuses du sexe, devraient bénéficier en principe d'une aide d'urgence de la part de l'Etat, suite à l'arrêt de toutes les activités économiques dû au confinement. Mais de nombreuses lavandières se plaignent, car elles n'ont jamais reçu leur part jusqu'ici alors qu'on entame actuellement la troisième semaine de confinement. Elles sont notamment issues des quartiers d'Itaosy et d'Ambohimangakely, ainsi que d'Ankazomanga et d'Anjanahary.
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