Depuis le mois de février, huit éléphants ont été illégalement abattus, quatorze présumés braconniers interpellés et leurs sites illégaux détruits. Les gardes forestiers sont aux aguets notamment autour du parc national de Nouabale-Ndoki.
La montée de la criminalité faunique intervient dans un contexte d'état d'urgence sanitaire et de confinement à domicile de l'ensemble de la population pour stopper la propagation du coronavirus (Covid-19). Au niveau du parc national de Nouabalé-Ndoki, situé au nord de la République du Congo, à la frontière avec la République centrafricaine, des camps de petite chasse et quatorze réseaux de braconnage ont été répertoriés.
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