La présidence camerounaise a reconnu mardi 21 avril que l'armée et un groupe d'autodéfense étaient impliqués dans le massacre civils mi-février dernier dans le nord-ouest anglophone séparatiste. La tuerie avait provoqué un tollé international et Yaoundé niait jusqu'alors toute responsabilité des militaires.
Le 14 février dernier, selon l'ONU, vingt-trois civils dont quinze enfants et deux femmes enceintes ont été tués à Ngarbuh, un quartier du village de Ntumbah.
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