Au Burundi, à quatre jours d'une présidentielle à laquelle le président en exercie Pierre Nkurunziza n'est pas candidat, des organisations de la société civile burundaise accusent le pouvoir actuel d'avoir poursuivi sa répression sanglante, entamée lors des manifestations contre son 3ème mandat, fin avril 2015.
Le compteur de l'ONU est bloqué à 1200 victimes depuis la fermeture du bureau du Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme dans le pays en 2017. Et même si les leaders de ces organisations ont été poussés à l'exil, elles ont gardé des réseaux de militants sur tout le territoire, ce qui leur permet de documenter ces « crimes cachés ».
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