Au Burundi, à la veille du triple scrutin de demain mercredi dont une présidentielle en l'absence du président sortant Pierre Nkurunziza, la société civile en exil tire la sonnette d'alarme. Elle dit craindre que le pays soit de nouveau le théâtre de violences post-électorales comme en 2010 et 2015 et en appelle à la responsabilité des forces de l'ordre et de la justice.
Dans le pays, la tension n'a cessé de monter entre les deux principales forces politiques du pays, le CNDD-FDD au pouvoir et son candidat le général Évariste Ndayishimiye, et le principal parti de l'opposition, le CNL représenté par Agathon Rwasa.
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