Les diplomates en poste à Bujumbura ont mis du temps avant de s'exprimer. Ils prennent acte de la victoire à la présidentielle d'Evariste Ndayishimiye, le candidat du pouvoir, crédité de de 70% des suffrages. Un communiqué très sobre qui ne rebondit pas sur les allégations de fraude électorale brandie depuis 10 jours par le principal opposant au pouvoir Aghathon Rwasa crédité de 24% des suffrages.
Cette déclaration est aux antipodes de la prise de position de la puissante Eglise catholique du Burundi, qui a apporté de l'eau au moulin du principal d'opposition le CNL, en dénonçant à son tour hier soir, les « nombreuses irrégularités » qui ont entaché les élections au risque de les décrédibiliser.
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