C'est à croire que la décision de la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP) ordonnant au pouvoir ivoirien de surseoir au mandant d'arrêt contre l'ex-président de l'Assemblée nationale, Guillaume Soro, candidat à la présidentielle de 2020 de son pays, n'est pas du goût des autorités ivoiriennes.
C'est du moins, ce que laisse penser sa décision de retirer sa déclaration au protocole de création de la juridiction africaine basée à Arusha en Tanzanie. En prenant cette décision, le pouvoir d'ADO interdit ainsi à ses compatriotes et aux organisations de la société civile, de saisir ladite Cour en cas de violation de leurs droits.
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