Ce mercredi, on commémorait au Soudan le massacre des révolutionnaires installés devant le quartier général de l'armée, le 3 juin 2019. Au moins 130 personnes avaient été tuées par la police et les paramilitaires soudanais. Mais un an après, rien n'a vraiment avancé pour que justice soit faite.
Ce mercredi dans Khartoum, les comités de résistance populaires, fers de lance de la révolution, avaient organisé des rassemblements le long des routes, des rassemblements limités pour cause de Covid-19. Tous exigeaient que justice soit faite pour les victimes, ce qui n'est pas encore le cas.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article