C'est hier mercredi 10 juin 2020 que le contrat signé en 2015, pour une période de 5 ans, entre la République Démocratique du Congo et la firme belge Semlex pour la fabrication des passeports biométriques congolais est arrivé formellement à son terme. En attendant les derniers réglages des modalités de sa résiliation, le gouvernement congolais a proposé, à sa partenaire, une période transitoire qui ne devrait pas excéder six mois.
Face à cette option, la société civile regroupée au sein de la synergie « Le Congo n'est pas à vendre » proteste. Elle estime qu'il n'y a ni urgence, ni obligation d'opter pour une phase transitoire, alors que le contrat est devenu juridiquement caduc à la date du 10 juin 2020.
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