La Place de l'indépendance de Bamako était encore noire de monde, le 19 juin dernier, à l'appel du M5 décidé à faire plier le régime d'Ibrahim Boubacar Keita (IBK) vomi par une partie importante de ses compatriotes à cause de son incapacité à mettre un terme à l'insécurité, au clientélisme, à la corruption et aux passe-droits qui ont précipité le Mali quasiment au fond de l'abîme.
Des manifestants hétéroclites venus écouter, tous tympans ouverts, la fatwa du prédicateur et timonier de la révolte populaire, l'imam Mahmoud Dicko, flanqué, comme c'est le cas depuis le début de la contestation, de ses camarades de circonstance issus du monde politique et de la société civile.
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