Un matin, les Togolais vont se réveiller sans leur pays. Emporté par les créanciers. Déjà, on se demande ce qui en reste des propriétés de l'Etat. La réponse, ces jours-ci, abonde dans la presse. Il nous est décrit une réalité glaçante, plutot ahurissante.
Le patrimoine national fait l'objet de braderie tous azimuts, de détournement à tour de bras. A tout casser. Comme à la foire. Tout y passe.
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