À la mémoire de mon ami Hyacinthe Kakou, auteur de la pièce théâtrale « On se chamaille pour un siège », qui a rejoint ses ancêtres, il y a quelques jours.
Il y a quelques jours, j'ai fui les inondations d'Abidjan pour aller me réfugier dans mon village, dans les environs de Daoukro. Un soir de pleine lune, nous avons organisé une veillée de contes comme lorsque j'étais enfant. Et, après les chants et les danses des femmes, un vieil homme est venu nous raconter cette histoire.
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