Après la restitution à l'Algérie de vingt-quatre crânes de résistants décapités au XIXe siècle et entreposés à Paris, que reste-t-il à faire côté français ? Un groupe d'intellectuels algériens, l'Instance de lutte contre la pensée coloniale qui comprend des chercheurs, des historiens et des juristes, attend encore beaucoup de Paris.
Pour Fatima Benbraham, présidente de l'Instance de lutte contre la pensée coloniale, l'un des gestes les plus significatifs serait la restitution du canon de Baba Merzoug, appelée en Fance « la Consulaire ». Un canon qui depuis 1833 est installé dans le port de Brest.
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