Le fils du président malien, l'une des personnalités publiques sur lesquelles se concentre la contestation en cours dans le pays, a annoncé démissionner de l'importante présidence de la commission parlementaire de la Défense.
Après quatre jours de violence, un calme précaire régnait ce mardi matin dans les rues de Bamako. Les émeutes et la répression ont fait 11 morts et 124 blessés à ce jour, les contestataires réclamant à corps et à cris depuis une semaine la démission du président IBK. Ce dernier est encore en poste, mais son fils Karim Keïta, très critiqué par les opposants, se pose en victime. Il a annoncé sa démission de la présidence de la commission Défense de l'Assemblée.
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