Aux temps du coronavirus, l'activité cinématographique au Maroc a plongé dans une crise sans précédent, suscitée par un arrêt brusque de toutes les activités et une obsession d'actualité brûlante liée à cette pandémie.
Le confinement a, quant à lui, mis la conscience humaine à rude épreuve. Une mélancolie a pris place, instaurant un sentiment méconnu qui invite à aspirer au temps des libertés. Les émotions procurées par le 7éme art ont dû s'adapter à ce bouleversement et franchir les portes des salles de cinéma pour se glisser à l'intérieur des maisons, forçant l'intimité à assouvir un besoin culturel et ainsi porter un regard plus libéré sur cette nouvelle réalité.
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