Violer l'ordre constitutionnel au Soudan est passible de la peine de mort. C'est ce que risque l'ex-dictateur, Omar el Béchir, jugé depuis le 21 juillet 2020, devant une Cour spéciale pour son coup d'Etat perpétré en 1989 contre le régime démocratiquement élu du Premier ministre, Sadek Al Mahdi, qui l'a amené au pouvoir.
L'audience qui a duré moins de 2 heures et était diffusée à la télévision soudanaise, a été reportée au 11 août prochain sur demande de la défense. Le président déchu est jugé avec une trentaine de co-accusés au nombre desquels des civils et des militaires dont deux ex-vice-présidents et un général.
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