Il y a quinze ans jour pour jour, le 22 juillet 2005, une soixantaine de migrants avaient été arrêtés avant d'être exécutés par les « junglers », des soldats directement rattachés à l'ex-président gambien Yahya Jammeh quand il était au pouvoir. Seuls trois rescapés de ce massacre sont connus, et pour les ONG, de nombreuses zones d'ombres subsistent.
Les victimes se battent depuis quinze ans pour la vérité sur ce massacre, mais elles n'ont eu droit qu'à des mensonges et des dissimulations. Jusqu'à présent, l'information est sortie au compte-gouttes, année après année...
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