Le « Mouvement du 23 mars», dit M23, refait surface. Plus de la moitié de ses hommes qui s'étaient rendus aux autorités, à l'appel du président Tshisekedi, ont déjà regagné la brousse. À en croire Bisimwa, le chef du mouvement, le gouvernement aurait failli à ses engagements, notamment celui d'intégrer des éléments M23 à l'armée et à la police.
À quelle situation peut-on s'attendre dans une région où sévit une insécurité endémique depuis 1994 ? La réponse à la question ne serait complète que si l'analyse prend en compte, entre autres facteurs, la nuisance réelle et potentielle de plusieurs groupes armés recensés dans le Nord-Kivu, le Sud-Kivu et l'Ituri.
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