Dans la suite des réactions enregistrées après la déclaration du Premier ministre, le 21 juillet, via son directeur de la communication et porte-parole, refusant d'endosser les récentes nominations dans la magistrature et l'armée, le député national Henri-Thomas Lokondo a donné de la voix. Selon lui, le cas d'un Premier ministre en mission de deux jours à l'intérieur du pays, n'est fondamentalement pas un cas d'empêchement.
« Le cas d'empêchement est une impossibilité officiellement constatée pour un gouvernement d'exercer ses fonctions. C'est le sens profond de l'alinéa 2 de l'article 90 de la Constitution. Encore qu'avec les nouvelles technologies de l'information et de la communication, la signature du Premier ministre pouvait être obtenue à moins que ce dernier ait donné son accord avant son départ... », a-t-il indiqué.
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