Mwilanya, Shadary, Kalev et leurs semblables ont battu le pavé la semaine dernière mais pour des raisons liées à leur survie politique. Rien à voir avec les motivations populaires proclamées, une semaine avant, par l'UDPS, Lamuka et le Comité laïc de coordination. Leur étrange «soutien aux institutions» reste entaché de suspicion.
Le plus aberrant, c'est d'entendre ces Kabilistes à la courte mémoire dénoncer «la dictature et la violation de la constitution, la dégradation de la situation socio-économique de la population» (sous Tshisekedi). Enivrés par la haine, ils ont osé réclamer - eux aussi mais en faveur de qui ? - «un État de droit, la revalorisation de soldes des soldats et policiers, une justice équitable» !
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